La mort aurait-elle un
cœur ?
La perdition serait-elle sa
sœur ?
Depuis que tu es parti,
Je décline toutes fiestas party
L’éclat de mon sourire a cessé de
briller
Mon souffle demeure dans l’étrier
Ma respiration semblable à celle
d’un agonisant
J’inspire et j’expire mais en
vain
Dans la soif de cette mort
inattendue,
Je ne retrouve plus mon équilibre
perdue.
Le vent souffle depuis le lever
du soleil
Mais tu nous as quittés avant le
réveil
Derrière ton bureau, je te revois
Me consoler dans la profondeur de
ta voie
Où es-tu allé Père ?
Pourquoi me prends-tu cette paix ?
Je suis meurtrie
Je ne parviens pas à faire le tri
Parle-moi encore
Reviens donner à mon âme son
décor…
Ganiath BELLO
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